À l’occasion du Sommet de l’OTAN début juillet, la question d’une désaffection américaine pour l’OTAN est discrètement posée. Des discussions embryonnaires existent, la France pousse à la prise de conscience, c’est une question très difficile pour les Allemands, longtemps dans le déni de ce problème. Fr est la principale nation « contributrice réelle » à l’OTAN après les États-Unis, et en plus nous autres Français sommes sereins car avons notre arme nucléaire propre.
Paris voudraient que partenaires augmentent leurs efforts militaires.
Toujours est-il qu’en vertu d’une loi nouvelle sur l’OTAN, voulue par Biden, toute sortie des États-Unis de l’OTAN serait conditionnée par le Sénat qui devrait doit l’accepter aux 2/3 ce qui est très improbale,.
Mais Washington sous Trump pourraient ramollir l’Article 5.
La France fait donc du Contigency Planning.
Les Républicains autour de Trump, c’est-à-dire le America First Policy Institute, où travaille l’influent Général retraité Keith Kellogg (qui a reçu des diplomates français), à la Heritage Fondation , et la Hudson Foundation — tous sont favorable au maintien des États-Unis dans l’OTAN.
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